Les arts plastiques
Galerie Gimpel & Müller – 12 rue Guénégaud – 75006 Paris
Trois tendances sont privilégiées : l’abstraction géométrique, l’abstraction lyrique et le cinétisme.
Karin y organise des concerts, tables rondes, signatures de livres, lectures et même des défilés de mode (voir événements)
Le centre d’art contemporain Frank Popper de Marcigny (Bourgogne) défend les mêmes tendances que la galerie Gimpel et Müller. Il abrite la collection de l’historien d’art Frank Popper, comprenant notamment des pièces exceptionnelles d’art cinétique. Il est dirigé par Franz Späth, médecin-artiste et Georges Silva, chercheur universitaire.
Fondation Vasarely d’Aix-en-Provence. L’amitié entre Vasarely et le père de Karin Müller s’est transmise à Karin Müller et son petit-fils, Pierre Vasarely.
Entre abstraction géométrique contemporaine et grands maîtres du tournant du XXe, Christophe Duvivier, le directeur des musées de Pontoise, propose une programmation de très grande qualité. Actuellement, exposition d’Albert Marquet, grand ami de Matisse, dont Karin parle longuement dans Métamorphoses de Matisse
Ce musée situé dans un des plus beaux hôtels particuliers du Marais abrite une belle collection d’oeuvres de Léon Zack et sa fille Irène Zack, artistes de la galerie gimpel & müller
La littérature, les librairies, les auteurs…
L’association organise plusieurs salons et rencontres littéraires par an – grâce à la compétence de Michèle Rossi et Aline Ferré – notamment le Salon des femmes de lettres et celui de l’Histoire en littérature auxquels Karin Müller est régulièrement invitée. Ils se tiennent au Cercle national des armées (Paris 8e)
Organisées par Pierre Défendini, cette manifestation réunit en Juillet et en Août une cinquantaine d’auteurs dans le Morbilhan et au bord de la Méditerranée. Karin y a fait la connaissance de Michel Quint, David Foenkinos et Valérie Bonnier.
Michel Quint : « Comment Karin Müller biographise…
Il est évident que les biographies de peintres par Karin Müller n’en sont pas. Pas plus que des journaux intimes. On est plus près du roman, de l’autofiction par délégation. Comme si Hopper, Matisse, Staël, avaient spécifié par testament qu’ils autorisaient Karin Müller à dire « je » à leur place. À chausser leurs godasses et endosser leurs vêtements. Du coup l’affaire tient aussi du résultat du carnet de travail d’un comédien. Et ça vit, le sang bat là-dedans, Karin Müller prête sa chair, son évidence minérale comme disait Charles Dullin à ces peintres. Ce qui en résulte est une immédiateté du compagnonnage, une entrée directe dans l’intimité des artistes. Comme s’ils se retournaient sur leur vie et laissaient leur mémoire choisir la trace dans ce chaos de l’existence passée, avec pour seuls repères et essentielles confidences de l’artiste les œuvres, l’au-delà de l’humain fragile et qui pourtant n’a d’autre matériau. »
« Grâce à ce livre j’ai découvert Nicolas de Stael comme je ne le connaissais pas… c’est un portrait tout à la fois solaire et noir… sensible et intime… on parvient à entendre sa voix comme rarement… »
La librairie La Hune, non loin de la galerie gimpel & müller, enseigne mythique qui fit tellement pour les artistes dans les années 60. Karin allait à tous les vernissages, enfant, et aujourd’hui, elle se rend dès que possible aux signatures d’écrivains. Un lieu de rencontres exceptionnelles.
Le blog de Valérie Debieux, auteur et chroniqueuse littéraire qui a écrit sur quatre des livres de Karin Müller
Le blog d’Ecriturefactory, vraie mine pour ceux qui veulent se lancer dans l’écriture. Créé notamment par Anita Coppet qui avait écrit :
« Hopper encore et tant mieux ! Pour en savoir plus : un livre de Karin Müller “Lever de rideau sur Edward Hopper” aux éditions Guena-Barley. Ecrit à la première personne, à la manière d’un journal intime, cette biographie romancée dresse le portrait de cet homme discret, qui mit longtemps à connaître la gloire. Passionnant. »